Jean-Felix Acquaviva, président de l’Office des Transports de la Corse a réuni mardi les membres de la commission spéciale, des élus en charge d’étudier la faisabilité de la compagnie maritime régionale à l’occasion d’une rencontre « point d’étape » avec le comité consultatif associé au dossier. L’occasion d’évoquer le déplacement en Ecosse.
« Nous avons fait un point sur cette prospection au sens des éléments de viabilité économique, sociale et juridique. Nous avons pu également observer des comparaisons en terme de trafic, de passagers, d’investissement dans les ports, de types de navires utilisés. Il nous est apparu évident qu’il y avait beaucoup de similitudes et d’éléments qui vont nous servir pour la proposition que nous faisons aujourd’hui.
Nous avons donc exposé tout ceci devant les acteurs économiques et sociaux ainsi que les élus. Nous développerons davantage et de manière plus précise lors de la séance plénière le 13 juillet prochain notamment concernant le modèle de financement des navires pour la société d’investissement, les principes de gouvernance, la répartition des capitaux dans les sociétés d’exploitation à objet prioritaires. L’une des sociétés gèrera les ports principaux et l’autre les ports secondaires.
Avec ces mesures nous démontrerons que nous réalisons des économies sur l’enveloppe de continuité qu’on pourra réinvestir dans les infrastructures portuaires et les routes. La séance plénière s’annonce plutôt bien. Nous avons réussi à co-construire ce projet avec les élus y compris ceux des autres groupes, ceux de la commission spéciale et les acteurs économiques et sociaux. Nous prenons le chemin d’un apaisement et d’un consensus au fil des discussions et des réflexions. Nous avons su prendre en compte les craintes sur la gestion publique en garantissant une gestion également entrepreneuriale. Il s’agit donc de bâtir un vrai partenariat ».
Les travaux semblent donc avancer sur le dossier maritime. Reste à savoir si la séance du 13 juillet viendra confirmer les avancées réalisées jusqu’alors et ouvrir la voie à la compagnie maritime régionale tant espérée.
« Nous avons fait un point sur cette prospection au sens des éléments de viabilité économique, sociale et juridique. Nous avons pu également observer des comparaisons en terme de trafic, de passagers, d’investissement dans les ports, de types de navires utilisés. Il nous est apparu évident qu’il y avait beaucoup de similitudes et d’éléments qui vont nous servir pour la proposition que nous faisons aujourd’hui.
Nous avons donc exposé tout ceci devant les acteurs économiques et sociaux ainsi que les élus. Nous développerons davantage et de manière plus précise lors de la séance plénière le 13 juillet prochain notamment concernant le modèle de financement des navires pour la société d’investissement, les principes de gouvernance, la répartition des capitaux dans les sociétés d’exploitation à objet prioritaires. L’une des sociétés gèrera les ports principaux et l’autre les ports secondaires.
Avec ces mesures nous démontrerons que nous réalisons des économies sur l’enveloppe de continuité qu’on pourra réinvestir dans les infrastructures portuaires et les routes. La séance plénière s’annonce plutôt bien. Nous avons réussi à co-construire ce projet avec les élus y compris ceux des autres groupes, ceux de la commission spéciale et les acteurs économiques et sociaux. Nous prenons le chemin d’un apaisement et d’un consensus au fil des discussions et des réflexions. Nous avons su prendre en compte les craintes sur la gestion publique en garantissant une gestion également entrepreneuriale. Il s’agit donc de bâtir un vrai partenariat ».
Les travaux semblent donc avancer sur le dossier maritime. Reste à savoir si la séance du 13 juillet viendra confirmer les avancées réalisées jusqu’alors et ouvrir la voie à la compagnie maritime régionale tant espérée.
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